Tous les articles par Bernard STEELANDT

A propos Bernard STEELANDT

Professeur de mathématiques et enseignant référent pour le numérique au collège Jacques Monod de Pérenchies.

Partcipez au Concours DROLES de MATHS

Depuis plus de 14 ans, l’équipe de mathématiques organise tous les ans le concours « Drôle de Maths ».

Ce concours allie le plaisir de faire des mathématiques en s’amusant et la solidarité.

En effet, le concours est un QCM où les questions sont ludiques… qui font appel à la logique plus qu’aux connaissances. Les participants doivent répondre à une vingtaine de questions de difficulté croissante. Mais les questions sont particulièrement « rigolotes ». En voici deux exemples :

  • Chorizo, élève de 3ème, est en stage découverte chez Pizza’Class. Il a confondu la viande hachée avec la pâtée du chien. Sa pizza, de masse 300g, est constituée de 20% de pâtée pour chien…
  • Monsieur Patate s’est mis en tête de séduire Miss Monde. Y’a du boulot ! Il dispose de 6 nez, 5 bouches, 4 chapeaux, 3 mentons et 3 moustaches…

Mais en plus, en s’inscrivant au concours, les élèves font une « Action Scolidaire » . En effet, il s’agit cette année de soutenir le Téléthon :

En France, des dizaines de milliers d’enfants sont atteints d’une maladie génétique. Ces maladies se comptent par milliers et diminuent parfois dramatiquement la durée de vie de ces enfants. Depuis bientôt 30 ans, l’association AFM organise le Téléthon pour récolter des fonds. Des millions de Français participent ! Ces fonds permettent d’aider les malades et de financer des chercheurs pour parvenir à vaincre ces maladies. Et la science avance ! En 2017, Drôles de Maths propose à tous ses candidats, par un don modeste (1€ par élève, c’est déjà très bien !), d’aider tous ces enfants et ces chercheurs !

N’hésitez pas donc à vous inscrire au Concours « Drôles de Maths » en remettant à l’un des professeurs de mathématiques entre le lundi 16 et le vendredi 20 janvier 2017 une enveloppe avec votre nom, votre prénom et votre classe contenant la somme de 3,50 € (en chèque à l’ordre de la FCPE ou en espèces). Cette somme peut être accompagnée d’un don supplémentaire pour le Téléthon.

Bon courage pour le concours

Et MERCI pour votre générosité.

L’équipe de mathématiques.

Nouveau : Un club jeu s’ouvre …

Un nouveau club voit le jour au collège : le club jeux !

Il y sera question de réunir les élèves devant des jeux de société originaux.

Ce club est d’abord fait pour se détendre, passer un moment convivial. Et après une semaine de cours, ce moment est le bienvenu! Une pause ludique qui pourra se faire avec des jeux collaboratifs, stratégiques, des jeux de réflexions, ou d’imagination… Le jeu est créateur de lien social, c’est aussi un créateur d’intégration.

Nous proposons deux créneaux successifs : le vendredi de 15h30 à 16h30 et de 16h30 à 17h30.

Pour participer, il suffit de s’inscrire auprès d’un professeur de mathématiques. L’élève s’engage à venir jusqu’au vendredi 10 février, afin de pouvoir essayer plusieurs concepts de jeu…

Bon amusement !

L’équipe de mathématiques.

Concours CASTOR

Dans la semaine du 7 novembre l’ensemble des élèves du collège Jacques Monod a passé le concours Castor Informatique (voir le site Castor Informatique).

Cela a permis aux élèves de se (re)familiariser avec la programmation. Les exercices (simples) sont basées sur la logique informatique. Sous forme d’exercices ludiques, les élèves apprennent la programmation sans toute fois programmer (c’est-à-dire sans langage informatique).

A la suite de ce concours, tous les élèves ont reçu un diplôme attestant le passage du concours (avec éventuellement leur place sur le collège et leur place sur l’ensemble du concours). Voir le classement général du concours.

Suite à cette première épreuve, 62 élèves du collège ont été sélectionnés pour passer le deuxième tour du concours Castor Informatique qui constitue aussi le premier tour du concours algoréa (voir le site algoréa).

Mardi 10 janvier 2017, les élèves ont passé donc le premier tour du concours algoréa.

Voici la liste des élèves sélectionnés pour passer ce deuxième tour du concours castor informatique avec leur classement et leur résultat.

Continuer la lecture de Concours CASTOR

Le voyage de Gulliver

Ces gens, qui sont d’excellents mathématiciens, sont parvenus à une parfaite maîtrise des arts mécaniques, grâce à l’appui et aux encouragements de leur Empereur, grand protecteur de la science. Ce prince possède une quantité de machines montées sur roues pour le transport des arbres et des poids lourds. Ses plus grands vaisseaux de guerre, dont quelques-uns atteignent neuf pieds de long, sont le plus souvent construits dans la forêt qui fournit le bois de charpente ; on les transporte de là jusqu’à la mer à l’aide d’un de ces appareils, à mille ou douze cents pieds de distance. Cinq cents charpentiers et mécaniciens

reçurent l’ordre de se mettre immédiatement à l’œuvre pour construire le plus formidable engin qu’ils eussent encore vu. C’était une plate-forme en bois s’élevant à trois pouces au-dessus du sol, de sept pieds de long sur quatre de large, et posée sur vingt-deux roues. Les cris que j’avais entendus saluaient l’arrivée de cette machine, qui, semblait-il, avait été mise en route moins de quatre heures après mon arrivée dans l’île. Elle fut placée parallèlement à mon corps. Mais la principale difficulté était de me hisser jusqu’à ce véhicule et de m’y installer. Pour cela, on dressa d’abord quatre-vingt poteaux, d’une hauteur d’un pied, et de fortes cordes de la grosseur d’un fil d’emballage furent reliées à des crochets à des bandes que l’on avait passées autour de mon cou, de mes

mains, de mon corps et de mes jambes. Neuf cents hommes, choisis parmi les plus vigoureux, reçurent alors l’ordre de tirer sur ces cordes par des poulies fixées aux poteaux et en moins de trois heures je fus ainsi hissé et installé sur la machine, où l’on attacha solidement.

Le soir, je me glissai, non sans peine, dans ma demeure et je m’y couchais à même le sol. Je n’eus pas d’autre couche pendant les quinze jours que dura la confection de mon lit. Par ordre de l’Empereur on apporta en charrettes six cents matelas de taille normale et on les assembla chez moi en quatre couches de cent cinquante matelas chacune, cousus ensemble pour être à mes dimensions, mais ne rendant guère moelleux un sol fait de pierres polies. On me confectionna de même les draps, les couvertures et les couvre-pieds ; le tout me satisfit, car je sais dormir sur la dure.

La description de l’Empire de Lilliput doit faire l’objet d’un traité particulier, mais en attendant que cet ouvrage ait paru, le lecteur voudra peut-être avoir quelques notions générales. Je suis heureux de les lui donner ici. La taille moyenne des habitants est un peu inférieure à six pouces, celle de tous les animaux, celle des arbres et des plantes leur sont exactement proportionnées.

Commentaires :

Sachant que Gulliver mesurait environ 1,80 m et qu’un pouce vaut environ 2,5 cm, les nombres choisis par J. Swift pour la confection du matelas de Gulliver te paraissent-ils vraisemblables ?

De la Terre à la Lune

Des sondages soigneusement pratiqués avaient permis de reconnaître la nature du terrain, et le creusement pu être entrepris dès le 4 novembre. Ce jour-là, Barbicane réunit ses chefs d’atelier et leur dit :

« Vous savez tous, mes amis, pourquoi je vous ai réunis dans cette partie sauvage de la Floride. Il s’agit de couler un canon mesurant neuf pieds de diamètre intérieur, six pieds d’épaisseur à ses parois et dix-neuf pieds et demi à son revêtement de pierre ; c’est donc au total un puits large de soixante pieds qu’il faut creuser à une profondeur de neuf cents. Cet ouvrage considérable doit être terminé en huit mois : or, vous avez deux millions cinq cent quarante-trois mille quatre cents pieds cubes de terrain à extraire en deux cent cinquante-cinq jours, soit, en chiffres ronds, dix mille pieds cubes par jour. Ce qui n’offrirait aucune difficulté pour mille ouvriers travaillant à coudées franches sera plus pénible dans un espace relativement restreint. »

A huit heures du matin, le premier coup de pioche fut donné dans le sol floridien.

Le pied anglais vaut 30,48 cm.

Commentaire :

Chaque jour, il faudra extraire : TerreLune1

Soit : TerreLune2

L’île mystérieuse

 

Or, le soleil, se levant sur un horizon pur, annonçait une journée magnifique, une de ces belles journées d’automne qui sont comme les derniers adieux de la saison chaude.

Il s’agissait donc de compléter les éléments des observations de la veille, en mesurant la hauteur du plateau de Grande-Vue au-dessus du niveau de la mer.

« Ne vous faut-il pas un instrument analogue à celui qui vous a servi hier ? demanda Harbert à l’ingénieur.

– Non, mon enfant, répondit celui-ci, nous allons procéder autrement, et d’une manière à peu près aussi précise. »

Harbert, aimant à s’instruire de toutes choses, suivit l’ingénieur, qui s’écarta du pied de la muraille de granit, en descendant jusqu’au bord de la grève. Pendant ce temps, Pencroff, Nab et le reporter s’occupaient de divers travaux.

Cyrus Smith s’était muni d’une sorte de perche droite, longue d’une douzaine de

pieds, qu’il avait mesuré aussi exactement que possible, en la comparant à sa propre taille, dont il connaissait la hauteur à une ligne près. Harbert portait un fil à plomb que lui avait remis Cyrus Smith, c’est-à-dire une simple pierre fixée au bout d’un fibre flexible.

Arrivé à une vingtaine de pieds de la lisière de la grève, et à cinq cents pieds environ de la muraille de granit, qui se dressait perpendiculairement, Cyrus Smith enfonça la perche de deux pieds dans le sable, et, en la calant avec soin, il parvint, au moyen du fil à plomb, à la dresser perpendiculairement au plan de l’horizon.

Cela fait, il se recula de la distance nécessaire pour que, étant couché sur le sable, le rayon visuel, parti de son oeil, effleurât à la fois et l’extrémité de la perche et la crête de la muraille. Puis il marqua soigneusement ce point avec un piquet.

Alors, s’adressant à Harbert :

« Tu connais les premiers principes de la géométrie ? lui demanda-t-il.

– Un peu, monsieur Cyrus, répondit Harbert, qui ne voulait pas trop s’avancer.

– Tu te rappelles bien quelles sont les propriétés des triangles semblables ?

– Oui, répondit Harbert. Leurs côtés homologues sont proportionnels.

– Eh bien, mon enfant, je viens de construire deux triangles semblables, tous deux rectangles : le premier, le plus petit, a pour côtés la perche perpendiculaire, la distance qui sépare le piquet du bas de la perche, et mon rayon visuel pour hypoténuse ; le second a pour côtés la muraille perpendiculaire, dont il s’agit de mesurer la hauteur, la distance qui sépare le piquet du bas de cette muraille, et mon rayon visuel formant également son hypoténuse, – qui se trouve être la prolongation de celle du premier triangle.

– Ah ! monsieur Cyrus, j’ai compris ! s’écria Harbert. De même que la distance du piquet à la perche est proportionnelle à la distance du piquet à la base de la muraille, de même la hauteur de la perche est proportionnelle à la hauteur de cette muraille.

– C’est cela même, Harbert, répondit l’ingénieur, et quand nous aurons mesuré les deux premières distances, connaissant la hauteur de la perche, nous n’aurons plus qu’un calcul de proportion à faire, ce qui nous donnera la hauteur de la muraille et nous évitera la peine de la mesurer directement. »

Les deux distances horizontales furent relevées, au moyen même de la perche, dont la longueur au-dessus du sable était exactement de dix pieds.

La première distance était de quinze pieds entre le piquet et le point où la perche était enfoncée dans le sable.

La deuxième distance, entre le piquet et la base de la muraille, était de cinq cents pieds.

Ces mesures terminées, Cyrus Smith et le jeune garçon revinrent au Cheminées.

Là, l’ingénieur prit une pierre plate qu’il avait rapportée de ses précédentes expéditions, sorte de schiste ardoisier, sur lequel il était facile de tracer des chiffres au moyen d’une coquille aiguë. Il établit donc la proportion suivante :

15 : 500 :: 10 : x

500 × 10 = 5 000

5 000

15

= 333,33

D’où il fut établi que la muraille de granit mesurait trois cent trente-trois pieds

de hauteur 1.

(1) Il s’agit du pied anglais, qui vaut 30 centimètres.

Commentaires :

Après avoir un schéma et rédigé la démonstration de Jules Verne tu pourras calculer la hauteur, en mètre, de la muraille.

Deuxième Chant de Maldoror

O mathématiques sévères, je ne vous ai pas oubliées, depuis que vos savantes

leçons, plus douces que le miel, filtrèrent dans mon cœur, comme une onde

rafraîchissante.

A l’aide de votre lait fortifiant, mon intelligence s’est rapidement développée, et

a pris des proportions immenses, au milieu de cette clarté ravissante dont vous

faites présent, avec prodigalité, à ceux qui vous aiment d’un sincère amour.

Arithmétique ! algèbre ! géométrie ! trinité grandiose ! triangle lumineux ! Celui

qui ne vous a pas connues est un insensé.

Vous, ô mathématiques concises, par l’enchaînement rigoureux de vos

propositions tenaces et la constance de vos lois de fer, vous faites luire, aux yeux

éblouis, un reflet puissant de cette vérité suprême dont on remarque l’empreinte

dans l’ordre de l’univers. Mais, l’ordre qui vous entoure, représenté surtout par la

régularité parfaite du carré, l’ami de Pythagore, est encore plus grand.

Vous me donnâtes la prudence opiniâtre qu’on déchiffre à chaque pas dans vos

méthodes admirables de l’analyse, de la synthèse et de la déduction. (…) Vous me

donnâtes la logique, qui est comme l’âme elle-même de vos enseignements, pleins

de sagesse, mon intelligence sentit s’accroître du double ses forces audacieuses.

Le lièvre et la tortue

Rien ne sert de courir, il faut partir à point.

Le lièvre et la tortue en sont un témoignage.

« Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point

Sitôt que moi ce but. – Sitôt ? êtes-vous sage ?

Repartit l’animal léger.

Ma commère, il vous faut purger

Avec quatre grains d’ellébore.

– Sage ou non, je parie encore. »

Ainsi fut fait, et de tous deux

On mit près du but les enjeux.

Savoir quoi, ce n’est pas l’affaire,

Ni de quel juge l’on convint.

Notre lièvre n’avait que quatre pas à faire :

J’entends de ceux qu’il fait, lorsque, prêt d’être atteint,

Il s’éloigne des chiens, les renvoie aux calendes

Et leur fait arpenter les landes.

Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,

Pour dormir et pour écouter

D’où vient le vent, il laisse la tortue

Aller son train de sénateur.

Elle part, elle s’évertue ;

Elle se hâte avec lenteur.

Lui cependant méprise une telle victoire,

Tient la gageure à peu de gloire,

Croit qu’il y va de son honneur

De partir tard. Il broute, il se repose,

Il s’amuse à tout autre chose

Qu’à la gageure. A la fin, quand il vit

Que l’autre touchait presque au bout de la carrière,

Il partit comme un trait; mais les élans qu’il fit

Furent vains : la tortue arriva la première.

« Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?

De quoi vous sert votre vitesse ?

Moi, l’emporter ! et que serait-ce

Si vous portiez une maison? »

Commentaires :

La tortue part immédiatement au moment du départ puis à « un train de sénateur » marche à une vitesse régulière et parcourt la distance totale en un certain temps. A la moitié de ce temps, elle a parcouru la moitié de la distance totale. Au trois quarts de ce temps, elle a parcouru les trois quarts de la distance totale. Sa vitesse étant constante, la distance qu’elle parcourt est proportionnelle au temps écoulé. Le parcours de la tortue peut se résumer par la formule D = V × T ( V est le coefficient de proportionnalité entre le temps T et la distance D ). Cette formule se traduit graphiquement par une droite.

Pour le lièvre il en va tout autrement. Au début « il broute, il se repose », le temps passe et la distance parcourue est presque nulle. Au trois quarts du temps, il n’a pas parcouru les trois quarts de la distance totale, loin s’en faut. Tout à la fin « il partit comme un trait », en peu de temps il a parcouru une grande distance.

On peut représenter les deux parcours ainsi :

Lièvre et tortue

Mais quand la tortue arrive, le lièvre n’a pas encore parcouru toute la distance. Mais quand la tortue arrive, le lièvre n’a pas encore parcouru toute la distance…

L’addition

Le Client

Garçon, l’addition !

Le Garçon

Voilà. (Il sort son crayon et note.) Vous avez… deux oeufs durs, un veau, un petit pois, une asperge, un fromage avec beurre, une amande verte, un café filtre, un téléphone.

Le Client

Et puis des cigarettes !

Le Garçon

(Il commence à compter)

C’est ça même… des cigarettes… … Alors ça fait…

Le Client

N’insistez pas, mon ami, c’est inutile, vous ne réussirez jamais.

Le Garçon

!!!

Le Client

On ne vous a donc pas appris à l’école que c’est ma-thé-ma-tique-ment impossible d’additionner des choses d’espèces différentes !

Le Garçon

!!!

Le Client

(élevant la voix)

Enfin, tout de même, de qui se moque-t-on ?… Il faut réellement être insensé pour oser essayer de tenter d’ « additionner » un veau avec des cigarettes, des cigarettes avec un café filtre, un café filtre avec des amandes vertes et des oeufs durs avec des petits pois, des petits pois avec un téléphone… Pourquoi pas un petit pois avec un grand officier de la Légion d’Honneur, pendant que vous y êtes ! (Il se lève)

Non, mon ami, croyez-moi, n’insistez pas, ne vous fatiguez pas, ça ne donnerait rien… pas même le pourboire !

(Et il sort en emportant le rond de serviette à titre gracieux.)

La vie d’Henri Brulard

Mon enthousiasme pour les mathématiques avait peut-être eu pour base principale mon horreur pour l’hypocrisie.

Suivant moi l’hypocrisie était impossible en mathématiques et, dans ma simplicité juvénile, je pensais qu’il en était ainsi dans toutes les sciences où j’avais ouï qu’elles s’appliquaient. Que devins-je quand je m’aperçus que personne ne pouvait m’expliquer comment il se faisait que moins par moins donne plus ( – × – = + ) ? (C’est une des bases fondamentales de la science qu’on appelle algèbre).

On faisait bien pis que de ne pas m’expliquer cette difficulté (qui sans doute est explicable car elle conduit à la vérité), on me l’expliquait par des raisons évidemment peu claires pour ceux qui me les présentaient.

Monsieur Chabert pressé par moi s’embarrassait, répétait sa leçon, celle précisément contre laquelle je faisais des objections, et finissait par avoir l’air de me dire :

« Mais c’est l’usage, tout le monde admet cette explication. Euler et Lagrange, qui apparemment valaient autant que vous, l’ont bien admise. Nous savons que vous avez rempoté un premier prix de belles-lettres. »

Je fus longtemps à me convaincre que mon objection sur – × – = + ne pouvait absolument pas entrer dans la tête de M. Chabert, que M. Dupuy n’y répondrait jamais que par un sourire de hauteur, et que les forts auxquels je faisais des questions se moqueraient toujours de moi.

J’en fus réduit à ce que je me dis encore aujourd’hui : il faut bien que – par – donne + soit vrai, puisque évidemment, en employant à chaque instant cette règle dans le calcul, on arrive à des résultats vrais et indubitables.

Mon grand malheur était cette figure :

Henri Brulard

Supposons que RP soit la ligne qui sépare le positif du négatif, tout ce qui est au-dessus est positif, comme négatif tout ce qui est dessous ; comment en prenant le carré B autant de fois qu’il y a d’unités dans le carré A, puis-je parvenir à faire changer de côté au carré C ?

Et, en suivant une comparaison gauche que l’accent souverainement trainard et grenoblois de M. Chabert rendait encore plus gauche, supposons que les quantités négatives sont les dettes d’un homme, comment en multipliant 10.000 francs de dette par 500 francs, cet homme aura-t-il ou parviendra-t-il à avoir une fortune de 5.000.000, cinq millions ?

× – = + m’avait donné beaucoup de chagrin.

Commentaire :

Pour que celui-ci surmonte son chagrin, qu’est ce que son professeur de mathématiques aurait du dire à Henri ?

La pédagogie par compétence, c’est quoi?

En Mathématiques, nous travaillons par compétences.

Cela permet aux élèves (et aux parents) de savoir exactement ce qu’ils doivent savoir, quelles compétences développer pour être au niveau.

Sur chaque feuille de route, correspondant environ à 15 jours de travail, vous pouvez voir les « savoir-faire » qui vont être évalués.

Chaque « savoir-faire » est associé à une des 6 compétences mathématiques :

  • Chercher  (que l’on notera Ch sur les Feuilles de Route)
  • Modéliser (que l’on notera Mo sur les Feuilles de Route)
  • Représenter (que l’on notera Re sur les Feuilles de Route)
  • Raisonner (que l’on notera Ra sur les Feuilles de Route)
  • Calculer (que l’on notera Ca sur les Feuilles de Route)
  • Communiquer (que l’on notera Co sur les Feuilles de Route)

Chacune de ces 6 compétences sont incluses dans les 5 domaines du socle commun.

LE SOCLE COMMUN DE CONNAISSANCES,

DE COMPÉTENCES ET DE CULTURE.

Le socle commun de connaissances, de compétences et de culture concerne les élèves de 6 à 16 ans. Il identifie les compétences et les connaissances indispensables qui doivent être acquises à l’issue de la scolarité obligatoire.

Domaine 1 : Les langages pour penser et communiquer

  • Langue Française
  • Langues vivantes étrangères ou régionales
  • Langage mathématiques, scientifiques et informatiques
  • Langage des arts et du corps

Domaine 2 : Les méthodes et les outils pour apprendre

Apprendre à apprendre, seul ou collectivement, en classe ou au dehors:

  • accès à l’information et à la documentation
  • outils numériques
  • conduite de projets individuels et collectifs
  • organisation des apprentissages

Domaine 3 : La formation de la personne et du citoyen

Transmettre les valeurs fondamentales et les principes inscrits dans la constitution:

  • apprentissage de la vie en société, de l’action collective et de la citoyenneté
  • formation morale et civique
  • respect des choix personnels et responsabilités individuelles

Domaine 4 : Les systèmes naturels et les systèmes techniques

Donner à l’élève les fondements de la culture mathématique, scientifique et technologique:

  • approche scientifique et technique de la Terre et de l’univers
  • curiosité et sens de l’observation
  • capacité à résoudre des problèmes

Domaine 5 : Les représentations du monde et de l’activité humaine

Développer une conscience de l’espace géographie et du temps historique:

    • compréhension des sociétés dans le temps et dans l’espace
    • interprétation des productions culturelles humaines
    • connaissance du monde social et contemporain

Voir le site officiel sur les domaines du socle.

Bilan

Sur Pronote, vous verrez pour chaque évaluation, non pas les savoir-faire mais les compétences mathématiques associées.

Dans la partie 1 de chaque évaluation, nous validons les savoir-faire de la Feuille de Route et par conséquent les compétences mathématiques.

Dans la partie 2 de chaque évaluation, nous ciblons directement 1 ou 2 compétences mathématiques sur un exercice à prise d’initiative type brevet.

 

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Voici les « Savoir-Faire » que l’élève doit acquérir au cours des 4 années du collège.

 Voir les sites officiels :

Pourquoi spiraler le cours?

Les chapitres sont découpés en plusieurs fiches. Dans chaque fiche, une seule notion est abordée. Chaque notion fait appel au maximum à trois compétences mathématiques différentes.

Ainsi dans le chapitre « Fractions » par exemple, on va avoir 7 fiches différentes (notion de fraction, égalité de quotients, comparer des fractions, multiplier deux fractions, inverse d’une fraction, diviser deux fractions, additionner deux fractions), chacune faisant à appel à au plus trois compétences mathématiques chacune.

Spiraler consiste à alterner les chapitres et à aborder donc les fiches d’un chapitre, non plus les autres derrière les autres, mais avec d’autres fiches, d’autres chapitres intercalées. Cela permet aux élèves de ne pas voir la totalité d’un chapitre d’un seul coup et donc de mieux « digérer » les notions. Cela permet aussi de revenir de manière régulière sur les notions déjà abordées.

Précédemment, on abordait un chapitre sans forcément revenir sur les notions. Maintenant l’élève aura l’occasion, grâce à cette technique pédagogique, de revenir sur les notions qu’il n’a pas comprises totalement. Ce sera aussi l’occasion de refaire les évaluations qu’il n’aura pas réussies.

La pédagogie inversée, c’est quoi?

La pédagogie inversée : on en parle à la télévision

  • Le travail en mathématiques sous forme de carte mentale.

travail en Math_ Carte Mentale

  • La pédagogie inversée expliquée aux parents

La pédagogie inversée consiste à inverser ce qui est fait traditionnellement à la maison et à l’école car l’aide du professeur est plus facile dans ce sens (méthode pédagogique initiée par le Québec en 1990 dans sa forme actuelle).

A la maison, on découvre et on recopie le cours disponible sur Internet (site MonodMath) et on y fait des QCM pour voir si on compris le cours. Ces tâches ne demandent pas beaucoup d’aide, juste un contrôle par les parents que cela soit fait.

En classe, l’élève fait les exercices et les tâches complexes. Cela permet au professeur d’apporter l’aide quand l’élève en a besoin. Cela permet aussi au professeur de préciser les notions de cours qui poseraient question.

Le temps dégagé par le fait que les élèves ne copient plus les leçons en classe permet d’y faire davantage d’exercices ainsi que des tâches complexes, de travailler en groupe, etc.

  • Qu’attend-on des élèves ? Qu’attend-on des parents ? Les feuilles de route…

A chaque période (environ 15 jours) une feuille de route est distribuée aux élèves. Elles précisent ce que les élèves ont à faire durant la période (leçons à recopier, QCM, exercices en classe, devoir maison, ainsi que les compétences qui seront abordées).

En classe :

Attitude de l’élève Attitude du professeur
Je me mets aux exercices individuels sans tarder et je fais le maximum d’exercices de la feuille de route. J’aide chaque élève au maximum et je surveille la progression de chaque élève.
Je participe aux échanges oraux de manière active et régulière. Je récompense toute intervention orale en rapport direct avec le travail.
Je participe activement aux activités de recherche (seul ou en groupe). Je récompense toute trace écrite ayant rapport avec le sujet étudié.
Je m’investis dans la réussite collective de la classe. Je note la performance collective de la classe.
Je questionne le professeur au moindre doute sur le cours, les corrections. Je récompense toute interrogation sur le cours, les corrections.

A la maison :

Travail de l’élève Rôle du parent
Je recopie le cours qui se trouve sur Monod Math (pas de photocopies) et je regarde les éventuelles vidéos associées. Je laisse l’accès à Internet. Je contrôle le cahier de cours de mon enfant.
Je prépare mes questions sur le cours.
Je réponds au QCM associé à la leçon. Je laisse l’accès à Internet.
Je fais sur copie le DNS éventuel associé à la leçon. Je contrôle que le DNS est fait (copie propre et tous les exercices abordés).
Je fais dès qu’il est donné le DNS informatique associé à la leçon. Je m’assure de l’accès au DNS sur informatique.
Je consulte sérieusement les corrections (accessibles sur Pronote) et je compare mes résultats aux corrigés. Je refais les exercices au besoin. Je prépare mes questions. Je laisse l’accès à Internet.

Nos modes d’action et méthodes de travail.

  • Travail en binôme, en groupe, en classe complète
  • Travail en classe pupitre : utilisation d’un tableur (open office classeur), d’un logiciel de géométrie dynamique (géogébra), d’exerciseurs (labomep, pyromath, …)
  • Calcul mental quotidien à l’aide de logiciels dédiés
  • Matérialisation de la participation (orale ou écrite) de l’élève par des jetons

Recommandations pour les devoirs écrits

  • Les devoirs à la maison doivent être rendus en temps et heure.
  • Les devoirs se font sur copie double de préférence à grands carreaux. Les écrits doivent être soignés. La présentation doit être respectée : voir Modèle.
  • Le petit blanc est formellement interdit. Pour éviter les erreurs, il est nécessaire de faire un brouillon.
  • Chaque résultat, chaque réponse doit être soulignée1.
  • En géométrie, les figures sont faites systématiquement sur papier non quadrillé au crayon à papier, sauf indication contraire2.
  • Les réponses en géométrie doivent être écrites sur la copie au stylo et non sur la figure.
  • L’énoncé est dématérialisé et se trouve sur pronote ou sur Monod-Math. Dans le cas d’exercices à partir du livre, on notera la page et le numéro des exercices 3.
1. Les réponses aux questions doivent être faites sous forme de phrases reprenant des éléments de la question. Tout raccourci comportant des pronoms personnels est à bannir et il y a nécessité en géométrie de rappeler de quoi on parle (droites, points, angles, …). Il n’y a pas à recopier la consigne sauf indication contraire. Cependant, elles doivent être suivies scrupuleusement en particulier lorsqu’on demande une copie d’éléments de la question. Chaque résultat doit être justifié par un calcul ou un raisonnement. Avant d’écrire ce calcul, on fera une phrase qui indique ce que l’on calcule. Le calcul sera ensuite écrit en ligne. Le résultat doit être donné avec son unité.
2. Sauf indication contraire, la figure peut être remplacée par une figure faite avec Geogébra (imprimée sur feuille non quadrillée). Cette figure imprimée devra avoir les mêmes dimensions qu’une figure faite « à la main ». La feuille, qui comportera le nom et le prénom sera glissée dans la copie.
3. Il n’y a pas à recopier la consigne sauf indication contraire. Cependant, elles doivent être suivies scrupuleusement en particulier lorsqu’on demande une copie d’éléments de la question.

Pour bien profiter des cours

  1. Le matériel

Avoir la totalité de son matériel doit être la première préoccupation de l’élève. Cela montre son intérêt à la matière.

  • Les feuilles de cours (voir 7) où on aura pris soin d’avoir recopié la-les leçon-s donnée-s sur la feuille de route en cours.
  • La feuille de route en cours pour pouvoir cocher les exercices faits
  • Le cahier d’exercices.
  • Règle, équerre, compas, rapporteur ou Thamographe
  • Un cahier de brouillon
  • La calculatrice
  • Le livre reste en classe
  1. L’attitude, le travail en classe et la participation.

Un relatif silence est nécessaire pour un travail correct. Toutefois, lorsque la disposition des tables le permet, échanger entre élèves peut être un moyen de progresser. Par contre, il ne faut pas hésiter à lever la main pour poser des questions, donner des réponses, demander des explications, passer au tableau. Des points de participation sont distribués pour ces interventions ou lors des exercices de recherche pour une participation active (l’élève a « noirci du papier ») même si la réponse est fausse ou incomplète.

  1. Les leçons

Le cours doit être recopié dans le classeur de cours avant d’aborder les exercices. Il est nécessaire de relire ce cours avant de faire les devoirs maison. Seuls le vocabulaire, quelques définitions et théorèmes en géométrie sont à apprendre par cœur, le reste est surtout à comprendre et à savoir utiliser. Les QCM donnés après chaque cours permettent de savoir si les notions essentielles sont acquises.

  1. Les exercices maison

Il y a peu d’exercices à la maison. Pour autant, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de travail à faire. Les élèves doivent recopier leur cours, faire les QCM associés, faire les devoirs maison et relire les corrections. En pédagogie inversée, les exercices se font en général en classe, lorsque le professeur est présent afin qu’il puisse reprendre, corriger avec les élèves et vérifier le travail des élèves.

  1. Les devoirs maison

L’énoncé des devoirs ainsi que les corrections se retrouvent sur le cahier de textes (site pronote) avec toutes les informations utiles (quand rendre le devoir? etc.). Le devoir se compose le plus souvent de trois parties. Les élèves disposent d’environ une semaine pour faire ce devoir. Il leur est possible de poser des questions en classe en début de cours, ou par courriel (voir en haut à droite : monod-math@laposte.net) ou encore,  avoir un échange avec les autres élèves.

L’une au moins de ces parties (pour le cycle 4) est une série d’exercices sur le site Labomep. Les identifiants et mot de passe sur ce site sont donnés en début d’année.

Une seconde partie peut comprendre un QCM sur pronote, un ou plusieurs exercice écrits, tirés des livres Sesamath. Pour rédiger cette partie sur feuille, il est utile de prendre connaissance des recommandations pour rédiger un devoir.

Comme le recommandent les programmes, certains devoirs incluent une partie où l’informatique est présente sur geogebra ou sur Scratch. Il est donc nécessaire de télécharger geogebra pour les figures de géométrie. Il est intéressant d’avoir un compte Scratch qui nécessite une adresse courriel propre à l’élève (Nous recommandons la création d’une adresse sur laposte.net)

Enfin, divers autres logiciels « InstrumentPoche« , « Openboard« , … sont utilisés par le professeur pour montrer les constructions.

Il est inutile et inopportun que les parents vérifient de la valeur des résultats. Une partie de la correction pourra être faite en classe mais la totalité de la correction se trouve sur pronote. Les élèves doivent en prendre connaissance et poser les questions nécessaires en cas d’incompréhension. Les devoirs maison seront annotés (et corrigés en partie) mais non notés. Par contre, l’investissement et la « réussite » des différentes parties des DNS, l’investissement en classe sera reportée sur la feuille de route ou sur pronote de façon que les parents puissent être au courant du travail de l’élève.

Le professeur après chaque évaluation fait un bilan du travail de l’élève et les parents signent la feuille de route pour montrer qu’ils sont pris connaissance de ce bilan.

Tous les logiciels utilisés sont des logiciels gratuits. Ils sont très souvent coopératifs (c’est-à-dire fabriqués par des développeurs utilisateurs), ce qui les garantit davantage contre les virus.

  1. Les évaluations en classe

L’évaluation en classe permet de confirmer que les savoir-faire et compétences étudiées ont été assimilées. Cette évaluation se déroule en deux temps au cycle 4 (En sixième, les évaluations sont plus distantes et ne comporte que la première partie). La première partie est une évaluation de « savoir-faire » sur des exercices simples (souvent identiques à ceux qui ont été travaillés en cours). La deuxième partie comporte un (ou deux) exercice(s) plus complexes où une ou plusieurs compétences sont évaluées. Les élèves en sont prévenus à l’avance et il peut être utile de préparer une copie double de façon à ne pas perdre de temps lors du contrôle. L’évaluation a lieu en deux parties. Les élèves apportent alors leur feuille de route et l’insère dans leur copie. Les énoncés et les corrections se retrouvent sur le site pronote. Une feuille de compétences est distribuée en début d’année (pour le cycle 4) afin de permettre aux élèves de reporter le niveau d’acquisition de chaque compétence. Les parents signent la feuille de compétences après chaque évaluations en classe.

  1. Classeur de cours et cahier d’exercices

Le cours est recopié sur des feuilles de classeur. Cela permettra à l’élève de classer ses cours en fonction du sommaire de chaque cycle et d’emporter en classe les feuilles dont les compétences sont travaillées en classe. Il est prudent de prendre ces feuilles dans une pochette plastique accrochée au cahier d’exercices. Ce sommaire est découpé en chapitres et en fiches. Attention pour les élèves du cycle 4 (cinquième, quatrième, troisième) le classeur de cours doit durer tout le long du cycle (3 ans). Il est donc nécessaire d’en prendre grand soin et de ne pas le détruire durant les grandes vacances. On pourra conserver la feuille de compétences avec le classeur de cours.

Pour le cahier d’exercices, il est intéressant de faire une présentation ordinaire. L’élève agrafera à la fin du cahier une pochette plastique qui contiendra les feuilles de route. Les feuilles de route seront distribuées (ou imprimées par l’élève) au fur et à mesure en cours d’année.

Il est recommandé de recouvrir le cahier d’exercices et d’y apposer une étiquette portant le nom de l’élève.

Thème : ALGORITHMIQUE

Fiche 01 : Notion d’algorithme et de programme

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Fiche 02 : Variable informatique

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Fiche 03 : Instruction conditionnelle

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Fiche 04 : Boucle

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Fiche 05 : Mettre au point un programme

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Chapitre M1 : Grandeurs Complexes

Fiche 01 : Grandeur produit

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Fiche 02 : Grandeur quotient

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Fiche 03 : Vitesse moyenne

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